Moins de trois mois après avoir présenté son premier budget, Rachel Reeves, Chancelière de l’Échiquier au Royaume-Uni se retrouve confrontée à des difficultés budgétaires alors que la hausse des coûts d’emprunt du Royaume-Uni réduit sa marge de manœuvre.

Les demandes d’allocations chômage aux États-Unis ont diminué de 1 000 par rapport à la semaine précédente pour atteindre 219 000 au cours de la deuxième semaine de décembre, ce qui contraste avec les attentes du marché qui tablaient sur une hausse à 224 000. Il s’agit du chiffre le plus bas, depuis le plus bas de près de sept mois de 213 000 le mois précédent.

La Réserve fédérale a réduit ses taux d’intérêt d’un quart de point de pourcentage, mais a annoncé un rythme d’assouplissement plus lent l’année prochaine, propulsant le dollar à son plus haut niveau depuis deux ans et déclenchant une liquidation des actions américaines et internationales.

Si le marché du travail américain montre des signes de craquement comme la Fed ne cesse de l’annoncer pour justifier ses réductions, cela n’apparaît pas dans les données.

Le président américain désigné, Donald Trump, a annoncé lundi que ses premières initiatives économiques, prévues après son investiture en janvier, consisteraient à relever les droits de douane sur les importations en provenance de Chine, du Canada et du Mexique. Une décision qui, si elle est confirmée, pourrait avoir des incidences non négligeables sur le quotidien des Américains.

La Fed a poursuivi son cycle de baisse de taux entamé au mois de septembre avec une baisse plus modérée de 25pb en novembre. La baisse des taux est désormais de 75pb depuis le pic. Toutefois, le contexte actuel est celui d’un marché de l’emploi qui reste très résilient ainsi que d’une inflation qui pareillement reste encore au-dessus de l’objectif des 2% de la Fed, notamment dû par le soutien du secteur des services (inflation à 4,7% en rythme annuel pour le mois d’octobre).

L’inflation américaine a atteint 2,6 % en octobre, alors que la Réserve fédérale débat de l’opportunité de réduire les taux d’intérêt lors de sa dernière réunion avant l’entrée en fonction du président élu américain Donald Trump.

L’inflation dans la zone euro a augmenté à 2 % en octobre, atteignant l’objectif de la Banque centrale européenne et renforçant les arguments en faveur d’une baisse des taux d’un quart de point en décembre.

La résilience de l’économie américaine, soutenue par la consommation des ménages, la solidité du marché de l’emploi, les PMI services positifs et les investissements privés, joue un rôle clé dans la hausse des taux obligataires à 10 ans. Pour comprendre ce mécanisme, il est important de saisir comment ces différents éléments interagissent et influencent les anticipations des investisseurs.

Les ventes au détail aux États-Unis ont augmenté à un rythme plus élevé que prévu en septembre, signe de la vigueur du consommateur américain qui pourrait influencer la manière dont la Réserve fédérale aborde les décisions en matière de taux d’intérêt lors de ses deux dernières réunions cette année.

Le mardi 24 septembre, la Chine a annoncé une série de mesures de relance économique, dont des baisses de son taux d’intérêt de référence, afin de contrer le ralentissement de son économie. Ces annonces interviennent dans un contexte où Pékin cherche à stimuler la croissance et à soutenir les secteurs en difficulté, notamment l’immobilier.

Le Conseil des gouverneurs a décidé le jeudi 12 septembre 2024 d’abaisser de 25 points de base le taux de la facilité de dépôt (le taux par lequel il pilote l’orientation de la politique monétaire). On fait un point sur le sujet. C’est parti.

Dans cette nouvelle tribune, c’est un point marchés important sur les cryptos qui vous attend. Sur fond de pensée récessionniste et de « seppuku » japonais, les cryptos ont vécu une semaine compliquée comme tous les actifs, ou presque. Est-ce la fin ? Décryptage.

Fin de semaine turbulente sur les marchés, n’est-ce pas ? L’indice S&P500 perd près de 4% sur les seules journées de jeudi et de vendredi, et ça n’est presque rien à côté des -5,4% de Microsoft sur la semaine ou des -5,8% de Nvidia sur la même période… Et que dire du Russel 2000, l’indice américaine de référence pour « les petites et moyennes capitalisations », qui perd lui près de 8% en deux jours ! Lorsque tout s’effondre, c’est avec un regard « macro » qu’il faut observer la situation. Prêtons-nous à l’exercice ensemble.

Dans cette nouvelle tribune, c’est un nouveau point marchés sur les cryptos qui ont vécu une nouvelle très belle hausse dernièrement. Mais est-ce vraiment durable ?

Si l’instabilité politique constitue un réel catalyseur pour les marchés financiers (demandez son avis au CAC40), il n’y a pas que ça. Au programme de la semaine : ultime révision de la croissance américaine pour le T1 2024, et évidemment publication de l’indice inflationniste PCE, mesure star de la FED. Pivot, pas pivot ? Décryptage.

Dans cette nouvelle tribune, nous allons faire un gros point marchés sur les cryptos dont la situation est toujours aussi ennuyeuse depuis le plus haut historique sur Bitcoin. La situation inquiétante des altcoins sera également discutée.

  Dimanche 9 juin, 21h : coup de tonnerre à l’Élysée ! À la suite des résultats inédits des élections européennes donnant le Rassemblement National largement en tête, le Président Macron décide de dissoudre l’Assemblée nationale, convoquant ainsi des élections...