Tout le monde ambitionne le jackpot. Cherchez à reconnaître une action multibagger est une chose. Mais leur quête exige d’endurer certains sacrifices que peu de personnes sont prêts à consentir. Cela dépasse même l’analyse fondamentale et technique d’une action de fonds de portefeuille. Alors, comment tomber sur la bonne ou quelques-unes qui pourraient changer la face de votre portefeuille ?

Il y a un moment précis, presque toujours silencieux, où l’investisseur comprend que le vrai risque n’a rien à voir avec des ratios ou des modèles. Ce moment se présente quand on regarde un portefeuille après un joli rallye et qu’on réalise que le bénéfice vient de s’évaporer parce que personne n’a eu la décence de sécuriser. C’est là, devant l’écran, qu’on sent la gueule de bois psychologique la plus douloureuse : non pas la perte numérique, mais la honte d’avoir laissé un gain redevenir une perte. Ce phénomène, j’ai appris à le détester.

Une leçon d’humilité ne fait pas mal pour vous rappeler que la Bourse n’est pas systématiquement le Meilleur des Mondes ou le paradis enchanté d’Alice aux Pays des Merveilles.

Ce phénomène provoque généralement des dégâts psychologiques et financiers chez les investisseurs à moyen-long terme. Mais d’un autre côté, la rotation du capital a le mérite de rendre justice à la notion du risque. Elle n’est pas une fatalité, car de nouvelles tendances émergent au niveau sectoriel et géographique. Comprendre les mécanismes de la rotation est important pour savoir où se déplacent les flux de capitaux et les tendances actuelles du marché.

Les investisseurs avides de fructifier leur capital ne prennent pas le temps de la réflexion de comprendre le pilier central de la macroéconomie et la finance, la monnaie. Pourtant, elle symbolise la relation entre les actifs et les passifs. Dans la vie commune, vous possédez un compte courant en tant qu’actif, servant à financer des investissements, payer des factures, etc. De l’autre côté, votre compte courant est un passif pour la banque.

Lorsque vous achetez une action, il est toujours bon de savoir dans quoi investir. Non seulement, classer les actions par secteurs peut être utile pour les investisseurs à comprendre le marché. Mais plus encore, cette approche offre une répartition structurée des opportunités d’investissement.

Savoir acheter une action est un premier pas décisif, mais c’est dans l’art de la vente que réside souvent la clé d’un portefeuille performant. Alors que construire un portefeuille repose sur des choix stratégiques, la gestion consiste à protéger vos gains et à limiter vos pertes. Vendre une action est une étape cruciale, souvent négligée, mais essentielle pour devenir un investisseur avisé.

Il existe une pléiade de ratios que vous les trouverez dans les rapports annuels des entreprises et sur les sites financiers. Mais pour rendre vos décisions d’investissement productifs, voici les 4 ratios financiers clés pour évaluer la solidité d’un dividende.

Dans ce nouvel Oeil du Marché, vous aurez le droit à un superbe guide pour comprendre les étapes de l’analyse fondamentale. Suivre les étapes de manière rigoureuse fera clairement de vous un excellent investisseur.

Vous avez sans doute entendu parler de portefeuille 60/40 : 60 % d’actions et 40 % d’obligations. Les jeunes investisseurs préfèrent mettre le paquet avec une exposition importante sur les actions, tandis que les investisseurs les plus âgés joueront la carte de la sagesse en réduisant la part en actions, et donc ne pas trop subir de la volatilité. Mais laissez-moi vous dire pourquoi ce concept est hors-jeu et comment mieux diversifier votre portefeuille face à un environnement économique et monétaire bien différent des décennies passées.

Parlons bien, parlons macroéconomie. Encore, me direz-vous ? Eh bien oui. Mais aujourd’hui, nous n’allons pas nous prêter l’exercice habituel, qui consiste à vous donner les clés de compréhension d’une économie nationale (USA, Chine, Allemagne, Japon, etc). Aujourd’hui, nous vous livrons les clés méthodiques, les « must have » afin que vous puissiez vous aussi faire vos propres analyses.

Si vous êtes un investisseur qui recherche des actions de belle qualité à détenir en portefeuille, la croissance du chiffre d’affaires et celle des bénéfices sur les cinq à dix dernières années ne suffisent pas pour juger de la qualité intrinsèque d’une entreprise. Il faudra apporter un regard neuf sur ses fondamentaux.

Marre de vous faire rouler dans la farine par les bruits de couloir des marchés financiers ? Vous avez l’impression que votre portefeuille stagne comme un joueur de cristal qui reste scotché sur le banc de touche ? Il est temps de passer un cap supérieur. Imaginez la Bourse comme un terrain de football. Chaque secteur est un joueur avec ses forces et faiblesses. Pour gagner le match, il faut savoir gérer les temps forts et les temps faibles. C’est là qu’intervient la rotation sectorielle.

Beaucoup de personnes vous diront que les actions sont toujours un meilleur investissement à long terme. Mais à lire entre les lignes, il existe une réalité en trompe-l’œil.